CONSTANCE La plupart des gens passent leur vie à rétablir la paix. Mais c'est inutile, parce que l'humanité se détruit de jour en jour. Pour nous, il est superflu de continuer à vivre normalement. C'est d'ailleurs pourquoi notre quartier est si bien mouvementé. Dix neuf ans, c'est jeune. Mais il y a bien longtemps que j'ai commencé à pressentir que la vie était absurde. On vit comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore. Chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent: on mange autre chose, on dort mieux, on baise quelqu'un d'autre, on sort ailleurs. Mais c'est pareil, sans but, sans intérêt. Pourquoi sortir tous les soirs, la première nuit, suivie de beaucoup d'autres, ne plus rien avoir à se dire, baiser pour combler les blancs, ne même plus avoir envie de baiser, se détacher, rester ensemble quand même, s'engueuler, se réconcilier tout en sachant que c'est mort au fond, aller baiser ailleurs, et puis plus rien. La première chose que l'on se dit à mon sujet lorsque l'on me voit, c'est petite parisienne pourrie gâtée, voire souvent fille à papa. L'appartement à Dieu sait combien de balles où mes parents ne sont jamais, c'est sûr que c'est pas mal. Oui, mes parents ne sont pratiquement jamais là. Voyages d'affaires pour mon père, et conférences pour ma mère. C'est comme ça depuis que je suis gosse. L'indépendance, ça me connaît. J'aime mes parents malgré tout. Et honnêtement, je me vois très mal vivre une autre vie que celle que j'ai eu jusqu'à présent. Mais je crois qu'il n'y a que nous, les riches, pour dire que l'argent ne fait pas le bohneur. On a beau poiroter trois mille ans chaque matin à choisir quelle paire de chaussures on va mettre aujourd'hui, habiter avenue Montaigne ou dans les alentours, peu importe. Vivre d'amour, d'Evian, et de Marlboro Light, puis croire que ça suffit. Seulement voilà, ça n'a jamais suffit. On est la jeunesse dorée. Et rien que pour ça, chaque seconde, chaque minute, chaque journée qui passe me laisse dans la bouche un goût dégueulasse. Il y a des jours comme ça. La vie n'est pas belle. L'amour n'existe pas. Mais rien n'est grave. S'envoyer en l'air en tout bien tout honneur, aimer jusqu'à en avoir mal au coeur, haïr jusqu'à en avoir mal au ventre. Pourrir le sourire aux lèvres, faire semblant, voilà tout. Souffrir.

Contexte écrit par Constance
- basé sur Hell, LOLITA PILLE.

Bien, maintenant que je vous aie mis l'eau à la bouche parlons époque.. Nous sommes au XIIIe siècle. La période médiéval, le moyen-âge. Une période plus qu'intéressante. Imaginez vous dans une ville. Avec des remparts, un seigneur sans pitié ou presque. Vous pourriez seulement jouer un paysan. Simple métier, mais souvent épuisant. Vous pourriez même être un roturier. Un charmeur de la cour aussi. Une belle princesse. La fille du Seigneur aussi. Comprenez vous que nous remontons plus de 800 ans en arrière ? C'est parti pour l'histoire.

Nous sommes en 1243. Dans le royaume du Seigneur Pendragon, Un royaume au nom de Brenindon en Angleterre. Un seigneur qui aime son territoire mais qui ne sais pas juger le niveau de justice. Il peut pendre quelqu'un pour un simple bout de pain volé. Le seigneur a une épouse, une belle dame du non de Annabeth. Cette belle femme lui a donné deux descendant. Un beau et faillant fils. Arthur Pendragon, Prince du territoire. Il devra prendre la suite de son père et régner sur les terres de ses ancêtres. Le deuxième enfant et une magnifique jeune fille. Du nom de Gisèl. Gisèl Pendragon. Elle est la princesse. Son père l'a promise au marquis Rorbru. Du moins elle sera pour son fils. Antoine Rorbru. Un jeune homme un peu trop réservé pour Gisèl qui elle est folle amoureuse d'un chevalier. Elle est forcée de le voir en cachette.

Si elle et son charment se font prendre son père devra tuer le bel homme et envoyer sa fille dans un couvent.. (normalement une peine de mort serait prévue, mais comme cette fille est importante ..) Mais il n'y a pas que la famille du seigneur. Descendons dans les rues sinistres ou presque de la ville. On y trouve des familles unies, des marchants, des femmes à plaisirs, des forgerons et membres du clergé aussi. On trouve aussi de riches chevaliers qui vivent pour servir les intérêts du seigneur. Nous ne savons pas tout ce qui se passe dans cette ville. Mais nous en savons assez pour vous dire qu'il y a des gens assez bizarres. En effet on y trouve des sorcières ainsi que des sorciers .Ses femmes ou hommes qui utilisent la magie, certaines font le bien et d'autre le mal. Dans le royaume de seigneur la magie est interdite, Si elles sont découvertes elles finiront sur un bûché ou pendu sur la grande place au milieu du village. Triste sort vous ne croyez pas?